Éduquer à l’orientation. Séminaire du Greshto, 3 juin 2024

La prochaine séance du séminaire du Groupe de Recherche et d’Étude Sur l’Histoire du Travail et de l’Orientation (Greshto), le 3 juin 2024) sera consacré à l’éducation à l’orientation.

Stages de troisième : sont-ils utiles aux collégiens ?, Erwan Lehoux

The Conversation France, 27 février 2024. Cette année, au mois de juin, les élèves de seconde générale et technologique devront réaliser un stage d’observation en milieu professionnel d’une durée de deux semaines. Le conseil supérieur de l’éducation s’est pourtant prononcé contre ce texte, par 58 voix contre et seulement 8 voix pour.

Comment ont évolué les parcours scolaires dans l’enseignement secondaire depuis 1980 ?, Joanie Cayouette-Remblière

C’est en 2018 que l’objectif notoire des 80 % d’une génération au baccalauréat a été atteint pour la première fois (DEPP, 2021). Cet événement n’a guère été célébré puisque, lorsque l’ambition avait été annoncée en 1985, le gouvernement s’était donné 15 ans pour y arriver – et il aura finalement fallu compter 33 ans. Le fait d’atteindre ce niveau symbolique signale pourtant l’ampleur de la transformation des scolarités dans l’enseignement secondaire français, des années 1980 à nos jours. L’analyse croisée des trajectoires de quatre cohortes d’élèves décrite dans cet article en rend compte.

L’orientation des bacheliers du panel 2014

La revue Education et formations de la DEPP consacre deux numéros à l’orientation des bachliers du panle 2014.

Eduquer à l’orientation. Outils et techniques de l’orientation à l’articulation de l’éducation, de la formation et du travail. Séminaire, 3 juin 2024

Le séminaire du Groupe de recheche et d’étude sur l’histoire du travail et de l’orientation (GRESHTO) consacre sa prochaine séance à l’éducation à l’orientation.

« Orienter ou désorienter », Carnets rouges n°30, janvier 2024

L’unification progressive du système scolaire s’est accompagnée d’une conception nouvelle de l’orientation, où l’élève, supposé libre de ses choix d’avenir, devient entrepreneur de lui-même et responsable de son parcours. Un « idéal » qui n’empêche pas la reproduction et même l’exacerbation des inégalités à l’école. Année après année, les statistiques sont implacables : les élèves issus des classes populaires, sont largement majoritaires dans les filières professionnelles et technologiques, devenues, de réforme en réforme, des voies de relégation.